Saturday, August 2, 2008

Inaki de Juana Chaos

L'atmosphère était lourde, samedi 2 août près du pénitencier d'Aranjuez, à côté de Madrid, alors que l'un des activistes les plus sanguinaires de l'histoire de l'ETA, Inaki de Juana Chaos, devait retrouver la liberté après 21 ans derrière les barreaux.
"Je ne peux avoir qu'une opinion : il faut respecter la loi", a déclaré vendredi soir le chef de l'exécutif, José Luis Rodriguez Zapatero, avant d'ajouter : "Cet individu suscite chez tous les citoyens et, bien sûr, chez le chef du gouvernement, une sensation parfaitement compréhensible de mépris."

"Révoltant !" C'est ainsi que les associations de victimes du terrorisme ont qualifié la libération conditionnelle de l'ex-militant de l'ETA.

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